Ingresar
Registro
Buscar en la letra
Buscar por:
#
A
B
C
D
E
F
G
H
I
J
K
L
M
N
O
P
Q
R
S
T
U
V
W
X
Y
Z
Inicio
>
S
>
Seigneur Voland
>
Et Autres Germes De Pourriture
> Corregir Et Autres Germes De Pourriture
Plugin Winamp
Lista de
reproducción
Corregir Letra Et Autres Germes De Pourriture de Seigneur Voland
Regresar a la letra Et Autres Germes De Pourriture de Seigneur Voland
El envío de correcciones solamente está disponible para usuarios autenticados. Debe
autenticarse
para poder realizarla.
Letra actual de la canción
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure<br />balancés par la main des juifs<br />et autres germes de pourriture<br />berce les mânes noyées des brebis sans sépulture<br />qui se dispersent lentement<br />comme des cendres dans l'azur<br /><br />Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées<br />Pourant elles n'avaient pas peur, rêvant juste<br />à un havre de paix<br />Dés lors, leurs pas s'éloignent et la notion de dieu<br />sous l'ultime lueur du ciel<br />Puis leurs corps si frêles s'enlisent dans son mome sein cruel<br /><br />Leur soleil est mort, plus jamais d'étés,<br />que des nuits monotones<br />Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité<br />est cette nourriture d'automne<br />Cette terre ancestrale et païenne<br />d'où nous les avons chassés<br />Et leurs veines sur lesquelles au rasoir<br />nous avons tiré un trait...<br /><br />En quête d'un gouffre noir, d'un endroit loin<br />qu'ils ne connaissaient pas<br />Un ailleurs de dieu où chaque colline,<br />chaque recoin est vierge de croix<br />et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu<br />Où chaque Vierge possède à la place du coeur<br />un énorme pieu
Letra nueva de la canción
La vase de ces marais, landaus noirs de la flétrissure<br />balancés par la main des juifs<br />et autres germes de pourriture<br />berce les mânes noyées des brebis sans sépulture<br />qui se dispersent lentement<br />comme des cendres dans l'azur<br /><br />Tout au bout du chemin, les brebis étaient fatiguées<br />Pourant elles n'avaient pas peur, rêvant juste<br />à un havre de paix<br />Dés lors, leurs pas s'éloignent et la notion de dieu<br />sous l'ultime lueur du ciel<br />Puis leurs corps si frêles s'enlisent dans son mome sein cruel<br /><br />Leur soleil est mort, plus jamais d'étés,<br />que des nuits monotones<br />Le seul lien qui les empoigne à la piètre humanité<br />est cette nourriture d'automne<br />Cette terre ancestrale et païenne<br />d'où nous les avons chassés<br />Et leurs veines sur lesquelles au rasoir<br />nous avons tiré un trait...<br /><br />En quête d'un gouffre noir, d'un endroit loin<br />qu'ils ne connaissaient pas<br />Un ailleurs de dieu où chaque colline,<br />chaque recoin est vierge de croix<br />et où le mot "sémite" à jamais sonnera creux comme dieu<br />Où chaque Vierge possède à la place du coeur<br />un énorme pieu
Digite lo que ve en la imagen